• Puis-je aller chercher une personne à l’aéroport, à la gare ?

    L’attestation ne le prévoit pas. Taxis et transports sont toujours disponibles pour effectuer le trajet à votre place. Si vous n’avez pas d’autre choix, mentionnez cette raison sur l’attestation et rendez-vous seul à l’aéroport ou à la gare en veillant à respecter les gestes barrière. Mais rien ne garantit que vous ne serez pas verbalisé.

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  • Puis-je encore prendre un taxi ?

    Même si le nombre de courses a fortement diminué, les taxis  sont toujours autorisés à travailler. Mais un arrêté ministériel demande qu’ils soient « aérés en permanence» (fenêtre ouverte) et « désinfectés au moins une fois par jour ». Il interdit aussi aux passagers de s’asseoir à côté du conducteur.

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  • Peut-on être plusieurs dans une même voiture ?

    Oui, quand il s’agit d’assurer la garde partagée en emmenant vos enfants chez leur père, ou de véhiculer quelqu’un qui ne peut pas conduire vers un rendez-vous médical urgent. Non, quand c’est pour faire ses courses ou se rendre dans sa résidence secondaire. BlaBlaCar a redonné les règles du covoiturage. Comme toujours, il faut se demander si le trajet est essentiel. En cas de contrôle, une amende de 135 € par personne est à redouter.

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  • Pourquoi ne monte-t-on plus par l’avant dans le bus ?

    Selon un arrêté paru vendredi au Journal officiel, le conducteur doit être séparé des voyageurs d’au moins un mètre, comme tous les autres usagers entre eux. D’où cette mesure de passer par les autres portes et le premier rang de sièges condamné. Le chauffeur ne peut plus vendre non plus de titres de transport à bord. Bus et autocars sont par ailleurs tenus de procéder « au nettoyage désinfectant de chaque véhicule ou matériel roulant de transport public au moins une fois par jour ».

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  • Pourquoi les transports n’ont-ils pas été suspendus avec le confinement ?

    L’arrêt des transports en commun mettrait un terme à tous les déplacements, notamment ceux des personnels soignants et de tous ceux qui, sans télétravail possible, doivent travailler et n’ont pas de voiture. La baisse se fait progressivement, « pour ne pas sous-dimensionner l’offre », a indiqué le secrétaire d’État chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, au micro d’Europe 1. Le trafic devrait être maintenu « autour de 30% pour la SNCF cette semaine », assure M. Djebbari. Et côté aérien, il devrait y avoir « environ 15 à 20 % des vols, essentiellement pour des vols de rapatriement et des outre-mer ».

    Des transports publics ajustés aux travailleurs et complétés par du transport à la demande.

    A partir de demain jeudi 26 mars 2020, afin d’inciter chacun à rester chez soi, l’offre des transports publics sera à nouveau réduite à Nice, Saint-Laurent-du-Var et sur l'ensemble de la Métropole.

    A compter de jeudi 26 mars 2020, un nouveau plan de transport adapté à la situation et complété par du transport à la demande est mis en place. Il tient compte des travailleurs résiduels qui ont besoin de se déplacer, des comptages effectués dans les bus et les rames de tramway, des échanges avec les établissements de santé et les différents employeurs du territoire. Les fréquences retenues découlent donc de la nécessité de conserver entre les passagers un espace de sécurité suffisant à l’intérieur des rames de tramways et des bus afin de respecter les mesures sanitaires.

    • Les lignes 1 et 2 de tramway circuleront de 5h à 23h avec une fréquence d’une rame toutes les 10 minutes
    • Les lignes à effet tram desservant des établissements de santé : 5/6/7/8/9 avec un fonctionnement de 5h à 23h et 5h à 22h pour les 7 et 9 et des fréquences variant entre 15 et 30 minutes selon les heures de la journée et les lignes
    • Les lignes essentielles desservant des établissements de santé : 11/16/18/19 avec un fonctionnement de 6h à 21h et des fréquences variant entre 20 et 60 minutes selon les heures de la journée et les lignes
    • Autres lignes desservant les établissements de santé maintenues : 31/33/35/36/40/61/64/70/71/75/87 avec une amplitude et des fréquences réduites et variables selon les lignes
    • Lignes hors Nice maintenues : 14/15/20/21/22/44/46/48/54/55/59/62/68/69/EXP2/79/82/83/85/86/88/90/91/92/93 avec une amplitude et des fréquences réduites et variables selon les lignes
    • Lignes suspendues : 3/12/17/30/34/37/38/39/41/43/45/47/49/50/51/52/53/56/57/58/60/63/65/66/67/72/73/74/76/77/78/80/84/94/EXP1/EXP3

    Un dispositif spécial de transport à la demande, complémentaire au réseau maintenu, sera proposé à toutes personnes souhaitant se déplacer pour motif de santé (cas n°3 de l’attestation de déplacement dérogatoire), effectuer un déplacement pour assistance aux personnes vulnérables (cas n°4 de l’attestation de déplacement dérogatoire), et se rendre à leur travail s’ils y sont obligés ainsi qu’au personnel soignant (hospitalier et autre).

    Une attestation employeur sera exigée dans ces deux derniers cas. Ce dispositif permettra de réaliser des trajets d’arrêts à arrêts sur les lignes suspendues. Les réservations devront se faire la veille avant 18h et jusqu’à 14 jours avant au numéro suivant : 0800 006 007, entre 7h et 19h45 du lundi au samedi (appels gratuits).

    En parallèle et en collaboration avec le CHU de Nice et les artisans taxis de la Métropole Nice Côte d’Azur, la Régie Lignes d’Azur crée une plateforme de transport à la demande dédiée au personnel hospitalier afin d’assurer leurs déplacements tout au long de la journée. Ce dispositif sera opérationnel en fin de semaine et une communication spécifique sera faite sur le sujet.

    Toutes les informations relatives au fonctionnement de ce réseau de transport public adapté et les horaires des lignes sont à retrouver sur le site : www.lignesdazur.com et au 08 1006 1006.

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  • Emploi : les mesures gouvernementales pour faire face à l'épidémie

    À la suite du vote de la loi d’urgence pour faire face à l'épidémie de Covid-19 créant l’état d’urgence sanitaire, 25 ordonnances ont été adoptées en Conseil des ministres sur la base des habilitations votées par le Parlement.

    S’agissant du soutien essentiel de l’emploi : Les ordonnances présentées par la ministre du travail permettent, dans le plein respect des droits français et européens et en dialogue avec les partenaires sociaux, de nous adapter face aux conséquences économiques et sociales qu’aura la crise sanitaire. L’objectif est de maintenir l’emploi à tout prix. Pour cela, les textes et les mesures prises permettent de :

     Protéger les entreprises et éviter les licenciements :
    - Prise en charge intégrale pour les employeurs de l’activité partielle ;
    - Délai de 30 jours avec effet rétroactif accordé aux entreprises pour leur dépôt de demande de chômage partiel avec acceptation tacite en l’absence de réponse au bout de 48h pour leur permettre de passer le cap le plus dur de la crise ;
    -  Dérogation temporaire possible aux règles relatives à la durée du travail dans certains secteurs essentiels dans la guerre contre le coronavirus ;
    - Souplesse temporaire sur les congés payés et les RTT.

     Protéger les salariés et conserver leur emploi :
    - Indemnisation des salariés en chômage partiel, égale à 84% des salaires nets ;
    - Indemnisation égale à 100% de leur salaire pour les salariés dont la rémunération mensuelle est égale ou inférieure au SMIC mensuel ;
    - Prise en charge totale (0 charge pour les entreprises) des indemnisations versées aux salariés par les entreprises dans la limite de 4,5 fois le Smic ;
    - Mécanisme du chômage partiel étendu à des salariés qui n’en bénéficiaient pas encore (ex : employés à domicile, assistantes maternelles ; saisonniers, salariés de droit privé dans les entreprises publiques ; saisonniers…) ;
    - Système exceptionnel d’indemnité journalière pour les parents devant garder leur enfant sans délai de carence ni condition d’ancienneté (rémunération au moins équivalente à 90% de leur salaire net une fois pris en compte le complément employeur qui sera systématiquement applicable).

     Protéger le niveau de vie des plus vulnérables :
    - Préservation des droits des demandeurs d’emploi en fin de droits le temps de l’état d’urgence ;
    - Prolongation de l’éligibilité aux minimas sociaux (RSA, complémentaire santé solidaire, AAH, allocation d’éducation de l’enfant handicapé) pendant la période de crise sans réexamen de condition

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  • Information concernant les dépôt sauvages et déchets verts

    Face à l’augmentation des dépôts sauvages de déchets verts au sein des communes de la Métropole Nice Côte d’Azur, il est demandé à chaque usager de conserver ses déchets verts jusqu’à la fin de la période de confinement et de ne pas les déposer ni dans les bacs à ordures ménagères, ni sur les trottoirs, ni dans les points d’apports volontaires verre/papier/emballage.

    En période où les déchetteries métropolitaines sont fermées, chacun pourra contribuer aux bonnes relations avec ses voisins en s’abstenant d’effectuer tout brulage de résidus de taille ou de tonte. Pas uniquement parce que cette pratique est punie de 450€ d’amende mais aussi et surtout pour permettre aux plus fragiles de ne pas voir leur système respiratoire affaibli par les fumées, leur permettra d’être mieux armés s’ils devaient être confrontés au virus.

    Plus que jamais en ce temps de crise sanitaire, la Métropole Nice Côte d’Azur en appelle au sens civique de chacun afin de ne pas déposer leurs déchets verts dans les rues et d’éviter ainsi de mobiliser des équipages sur des missions liées aux dépôts sauvages.

    Pour rappel, le dépôt sauvage est passible d’une amende allant de 68€ à 1500€ conformément aux articles R632-1, R644-2 et R635-8 du Code Pénal.

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  • Métropole : Un nouveau dispositif de consultations médicales à distance

    COVID-19

    Depuis aujourd'hui dans la Métropole Nice Côte d’Azur, un nouveau dispositif de consultations médicales à distance

    Nice téléconsultation

    Avec la crise sanitaire sans précédent liée au Covid-19, les médecins et les urgences ont besoin d’appuis afin de pouvoir prendre en charge plus de patients et ce, dans les meilleures conditions possibles.

    Plus que jamais, nous devons répondre aux besoins médicaux dans les zones blanches (sans médecin de proximité) et avoir une attention toute particulière pour les personnes fragiles : seniors, précaires, citoyens isolés, handicapés …

    La téléconsultation est une barrière pour diminuer l’exposition virale de nos médecins tout en poursuivant un suivi des patients.

    C’est pourquoi dès le vendredi 27 mars, la ville de Nice, la Métropole Nice Côte d’Azur, SOS Médecin, MG-NMU avec le soutien de l’ARS, la CPAM et le Conseil de l’Ordre des Médecins ont mis en place un dispositif de téléconsultation à Nice et dans les villes de la Métropole Nice Côte d’Azur.

    Nice téléconsultation a été concertée avec les associations qui œuvrent auprès des publics en situation de précarité et/ou isolés : mise à disposition d’un outil numérique pour permettre cette téléconsultation dans leurs structures.

    De même avec les établissements de précarité du CCAS ou les établissements accueillant des seniors :  Accueil de jour, accueil de nuit, pensions de famille, EHPAD, Service Polyvalent d’Aide et de Soins à Domicile (SPASAD) ou Service d’aide et d’Accompagnement à Domicile (SAAD).

    Nice téléconsultation est bien sûr ouvert à tous les réseaux d’accompagnements de santé ou sociaux des seniors et des personnes en situation de handicap.

    Ce dispositif de téléconsultation permet :

    • Un renfort des médecins généralistes,
    • Un soulagement du 15 afin de libérer des lignes pour les cas sérieux et graves,
    • Une réponse à des patients malgré la surcharge de travail pour les médecins et associations qui travaillent par exemple avec des publics précaires,
    • Un médecin pour tous les citoyens, même dans les zones blanches.

     Le fonctionnement :

    La règle reste que le patient cherche à joindre directement son médecin traitant en priorité pour ne pas surcharger le service. Mais si un patient ne peut joindre son médecin de famille, cette plateforme de téléconsultation est ouverte de 8 heures à 22 heures.

    Le patient doit joindre le numéro 04 97 13 40 80, standard médical mis en place et dédié avec des professionnels de santé, ou le courriel niceteleconsultation@nicecotedazur.org.

    Il doit donner précisément son nom, prénom, adresse, courriel, numéro de téléphone et le motif de son appel.

    Il doit ensuite télécharger une application de visioconférence type Duo/WhatsApp/ Facetime et photographier son attestation de sécurité sociale.

    Un médecin rappel ensuite le patient en téléconsultation et envoie les ordonnances par courriel.

    Les médecins sont installés dans la mairie de Nice afin d’effectuer leurs téléconsultations. Celles-ci sont prises en charge selon les modalités de remboursement de la Sécurité Sociale et respectent les règles de confidentialité et le secret médical.

    Pour toute urgence médicale type détresse respiratoire joindre le 15.

    Pour toutes autres questions liées au Covid-19, contacter la plateforme d’appel de la Ville de Nice : 04 97 13 56 00, joignable 7 jours sur 7, de 9 heures à 19 heures.

    Tout médecin généraliste ou spécialiste qui souhaite participer à ce dispositif de téléconsultation peut prendre attache auprès du numéro dédié 04 97 13 40 80 ou par courriel niceteleconsultation@nicecotedazur.org.

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  • Rappels des mesures prises par le gouvernement en faveur des entreprises et emploi

    À la suite du vote de la loi d’urgence pour faire face à l'épimie de Covid-19 créant l’état durgence sanitaire, 25 ordonnances ont été adoptées en Conseil des ministres sur la base des habilitations votées par le Parlement.

    S’agissant du soutien aux entreprises : Les ordonnances comportent des mesures de solidarité exceptionnelle pour maintenir à flot les petites entreprises les plus vulnérables.

    Il s’agit de soutenir leur trésorerie afin déviter des faillites et des licenciements.

    ·     Ce soutien massif passe par la création du Fonds de solidarité doté d’un milliard d’euros par mois, dont 250 millions d’euros en provenance des régions et 200 millions du secteur des assurances. Il s’adresse aux très petites entreprises, aux microentreprises et aux indépendants les plus touchés par l’épidémie.

    ·     Concrètement, les entreprises dont le chiffre daffaires a diminué de 70% ou plus entre mars 2019 et mars 2020 toucheront une aide de 1 500 euros versée le 4 ou 5 avril 2020. Une aide supplémentaire de 2 000 euros pourra être remise au cas par cas en lien avec les régions aux entreprises qui en ont besoin.

    ·     Soutenir la trésorerie des entreprises passe aussi par le report du paiement des loyers, des factures d’eau, de gaz et d’électricité.

    ·     Ce soutien massif se fonde aussi sur le dispositif exceptionnel que nous mettons en place en matière de garantie des prêts à venir des entreprises : 300 milliards d’euros de garantie bancaire.

     

    S’agissant du soutien essentiel de l’emploi : Les ordonnances présentées par la ministre du travail permettent, dans le plein respect des droits français et européens et en dialogue avec les partenaires sociaux, de nous adapter face aux conséquences économiques et sociales qu’aura la crise sanitaire. L’objectif est de maintenir l’emploi à tout prix. Pour cela, les textes et les mesures prises permettent de :

    ·      Protéger les entreprises et éviter les licenciements :

    o Prise en charge intégrale pour les employeurs de l’activité partielle ;

    o lai de 30 jours avec effet rétroactif accordé aux entreprises pour leur dépôt de demande de chômage partiel avec acceptation tacite en l’absence de réponse au bout de 48h pour leur permettre de passer le cap le plus dur de la crise ;

    o rogation temporaire possible aux gles relatives à la durée du travail dans certains secteurs essentiels dans la guerre contre le coronavirus ;

    o Souplesse temporaire sur les congés payés et les RTT.

    ·      Protéger les salariés et conserver leur emploi :

    o Indemnisation des salariés en chômage partiel, égale à 84% des salaires nets ;

    o Indemnisation égale à 100% de leur salaire pour les salariés dont la rémunération mensuelle est égale ou inférieure au SMIC mensuel ;

    o Prise en charge totale (0 charge pour les entreprises) des indemnisations versées aux salariés par les entreprises dans la limite de 4,5 fois le Smic ;

    o Mécanisme du cmage partiel étendu à des salariés qui nen bénéficiaient pas encore (ex : employés à domicile, assistantes maternelles ; saisonniers, salariés de droit privé dans les entreprises publiques ; saisonniers…) ;

    o Système exceptionnel d’indemnité journalière pour les parents devant garder leur enfant sans délai de carence ni condition d’ancienneté (rémunération au moins équivalente à 90% de leur salaire net une fois pris en compte le complément employeur qui sera systématiquement applicable).

     

    ·     Protéger le niveau de vie des plus vulrables :

    o Préservation des droits des demandeurs demploi en fin de droits le temps de l’état d’urgence ;

    o Prolongation de l’éligibilité aux minimas sociaux (RSA, complémentaire santé solidaire, AAH, allocation d’éducation de l’enfant handicapé) pendant la période de crise sans réexamen de condition.

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  • Mesures d’accueil des enfants de personnels soignants du personnel médical et para médical libéral

    La Ville de Saint-Laurent-du-Var en collaboration avec l'Education Nationale a mis en place un pôle d’accueil des enfants depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus

    Le dispositif qui concerne les enfants du personnel soignant
     
    Pour compléter ce dispositif d’aide, la Ville assure la livraison des repas chauds. Du matériel sanitaire est également mis à disposition : solution hydro alcoolique, masques, lingettes et gants. Le protocole de nettoyage,  est également effectué par la Ville.
     
    Pour l’heure trois écoles élémentaires ont donc été ouvertes, du lundi au vendredi, à Ravet, Cassin et Michelis ainsi que la crèche des Lutins. Les équipes sont composées d'agents communaux (Atsem agents de restauration ainsi que des animateurs et animatrices de centres de loisirs, animatrices BCD, agents d'entretien), d’enseignants, puéricultrices...
     
    Le maire de Saint-Laurent-du-Var, Joseph Segura et son adjointe à l'Education, Françoise Benne tienentt à remercier chaleureusement le personnel qui s’est porté volontaire pour assurer cette mission de solidarité envers les soignants.
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