C’est une date importante de notre Histoire qui a été commémorée à Saint-Laurent-du-Var, celle du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918. Pour rendre hommage aux héros tombés au combat, les Laurentins sont venus particulièrement nombreux devant le monument aux morts, aux côtés de Joseph Segura, maire de Saint-Laurent-du-Var, ses élus, mais également de Laurence Trastour, députée des Alpes-Maritimes, Arnaud Colin, inspecteur de l’Éducation Nationale, des représentants des associations patriotiques et des autorités civiles, militaires et religieuses.

L’engagement éco-citoyen se vérifie d’année en année sur la commune, et notamment dans les établissements scolaires. Toujours suivi avec attention par les élèves et le personnel éducatif, le programme « Watty à l’école », porté par la société Eco CO2, revient pour une nouvelle année de sensibilisation aux économies d’eau et d’énergie. Au total, ce sont 52 classes élémentaires et 22 classes maternelles qui prendront part au programme.

La jeunesse laurentine sera mise à l'honneur le samedi 17 novembre à l'occasion de la fête "Ville amie des enfants" qui précédera la journée internationale des droits de l'enfant le mardi 20 novembre.

Présidé de plein droit par Joseph Segura, maire de Saint-Laurent-du-Var, le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) anime une action générale de prévention et de développement social dans la commune, sous la conduite de sa vice-présidente Mary-Claude Bauzit, également adjointe à l’action sociale et à la solidarité.

Une lecture pour deux visions d’un conflit centenaire

Ces deux jeunes hommes, lieutenants ennemis pendant la guerre de 14/18, furent blessés le même jour dans la célèbre tranchée de Calonne, au sud-est de Verdun.

Quelques années après, ils témoignent à travers leurs oeuvres autobiographiques, de ce qu’a été cette guerre, leur guerre.

Lorsque des gens ordinaires subissent l’absurdité des guerres

Gaston, Michelle, et Jean Blanchard vivent simplement à Ambierle dans la Loire. Le 2 août 1914 l’ordre de mobilisation générale est lancé. Et puis Elle, la Dame en noir, la voix des ombres, le destin peut-être... Ce porte parole de tous ces soldats morts au champ d’honneur. A travers un échange épistolaire d’auteurs anonymes ou célèbres (Dorgelès, Barbusse, Giono), les spectateurs suivent le parcours des hommes dans les tranchées et de l’arrière.

Avant de sonner aux portes pour réclamer quelques friandises, nos jeunes garnements avaient rendez-vous pour un atelier maquillage sur la place Saint-Antoine le matin, sous la houlette des CommerCentre, et sur la place Georges Foata l’après-midi, en lien avec l’Association des commerçants de la Gare, présidée par Cathy Giobergia.